« Les institutions européennes seront en place le 1er novembre au plus tard. La veille, le Royaume-Uni nous aura quittés. Tout sera en place pour cinq ans, jusqu’en juillet 2024. Aujourd’hui, notre Union est attaquée de l’extérieur et mise en cause à l’intérieur. Ce qui la guette, c’est le désamour de ses peuples et leur éloignement de cet engagement de trois-quarts de siècle.
Longtemps, elle s’est imposée comme une évidence par la paix qu’elle assurait, la liberté qu’elle garantissait, la prospérité qu’elle promettait. Cette évidence n’est plus suffisante.
Nous, Bretons, allons dans ce groupe réfléchir à notre apport pour en consolider la pérennité.
Nous réfléchirons aussi à nos attentes pour notre région.
En s’inspirant du Président Kennedy : « Ne te demande pas seulement ce que tu attends de l’Europe, mais aussi ce que tu peux lui apporter ».